La référence incontournable
en immobilier depuis plus de 65 ans
Pour bénéficier de services professionnels
Les courtiers immobiliers sont des professionnels hautement qualifiés et très bien encadrés. Ils sont régis par un code de déontologie et des normes de pratique professionnelle.
Pour avoir le droit d’exercer leurs activités, tous les courtiers immobiliers du Québec doivent suivre une formation de base offerte par un établissement certifié. Au cours de leur carrière, les courtiers doivent aussi suivre un rigoureux programme de formation continue afin de se perfectionner et de maintenir leurs connaissances à jour.
De plus, les professionnels de l’immobilier du Québec doivent réussir un examen administré par l’Organisme d’autoréglementation du courtage immobilier du Québec (OACIQ) afin d’obtenir un permis d’exercice. Cet examen rigoureux et approfondi ne dure pas moins de six heures : c’est dire l’étendue des éléments qui sont évalués.
Lorsqu’ils ont réussi leur formation et cet examen, les courtiers sont reconnus aptes à :
- recourir aux règles de droit générales et particulières dans les opérations de courtage;
- estimer la qualité et les différents éléments de la construction d’un immeuble;
- estimer la valeur marchande d’un immeuble;
- distinguer les principes de base en matière de crédit hypothécaire;
- effectuer les opérations de courtage relatives à la vente, à la location et l’échange d’un immeuble;
- agir de façon éthique et responsable dans la pratique du courtage;
- gérer leurs activités professionnelles dans le domaine de l’immobilier.
Une offre complète
Un salaire bien mérité
Ainsi, faire affaire avec un courtier immobilier vous permet de réaliser l’une des plus importantes transactions de votre vie en évitant de nombreux soucis. Sans compter que vous ne payez que pour les résultats obtenus, car le courtier doit conclure une vente pour toucher sa rétribution.
En effet, la somme que le courtier reçoit dans le cadre d’une transaction immobilière est établie à la signature du contrat de courtage avec son client, mais c’est seulement lorsque la transaction est officielle, à la signature de l’acte notarié, qu’il reçoit son salaire.
Communément appelée « commission », la rétribution ne va pas directement dans les poches du courtier immobilier. Si un courtier collaborateur (qui représente l’acheteur) a participé à la vente, le courtier inscripteur (qui représente le vendeur) doit lui en remettre une partie.
Par ailleurs, à titre de travailleur autonome, le courtier inscripteur assume plusieurs dépenses avant même de recevoir sa rétribution, dont les frais de publicité, d’assurance responsabilité, de transport et de bureau.